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    Prédateur

     

    Tes mains chaudes dévalent lentement, le long de mes courbes plantureuses, tes doigts frôle délicatement la naissance de ma poitrine. Fesses cambrées contre toi, mes sens s'embrasent. Mes lèvres, insatiables, réclament tes baisers, mais toi, cruel amant, tu me refuses leur chaleur. Ton souffle dans ma nuque m'enivre. Tu me lèches, me mordilles, ma chair crie de désir. Embrasse-moi encore, là.

    « Offre-toi à moi, petite rebelle », me dis-tu.

    Rien qu'une aventure d'un soir et puis tu t'en iras.
    Je le veux, j'ai soif de ses doigts en moi, j'ai soif de son sexe en moi...

    « Baise-moi, encore et encore à l'infini... »

    Juste cette nuit.


     


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